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Léger et pratique avec un renflement ergonomique sur la droite pour le tenir,
L'EOS 400D est doté d'un capteur de 10,1 millions de pixels et il peut prendre des images
allant jusqu'à une résolution de 3888 x 2592 pixels, les enregistrant au choix
en mode brut (RAW), compressé (JPG) ou les deux (RAW + JPG).
Le rendu de couleurs tres bon,
et on peut déjà l'apprécier sur l’écran LCD de 2,5 pouces, qui est d'une netteté
et d'une luminosité impressionnantes. Le capteur est efficace même en faible lumière,
pouvant monter jusqu'à 1600 ISO sans induire de fausses couleurs, et l'on arrive
à faire des photos sans flash dans des environnements extrêmement sombres, où l'on voit
en fait mieux sur la photo qu'avec les yeux.
Le temps de mise en route est de 0,2 secondes
et l'autofocus est très performant, avec une mesure intelligente sur neuf collimateurs
(sélectionnables un par un) et la possibilité d'utiliser le bouton * de mesure sélective
(pour décider soi-même la mise au point et la lumière).
Téléobjectif ultra lumineux (f/2.8), optimisé pour le numérique et l'argentique
et à motorisation ultra-sonique HSM, le 150 mm permet la macrophotographie en taille réelle (1:1).
La construction optique innovante assure une correction remarquable du chromatisme de grandeur
(aberration chromatique transversale) auquel les systèmes numériques sont très sensibles.
Deux éléments en verre spécial à faible dispersion (SLD) contribuent à une efficace correction
des diverses aberrations et assurent une très haute qualité d'image.
Le système flottant de mise au point mouvemente deux groupes de lentilles
et corrige l'astigmatisme, ainsi que l'aberration sphérique. La motorisation HSM assure
une mise au point rapide et silencieuse, et permet la retouche manuelle permanente.
La focale de 150 mm (equivalant à 240 mm avec le capteur du 400D) est très pratique pour la photo
d'insectes plus farouches commes les papillons et les libellules et permet d'obtenir
des fonds floutés à souhait.
Il s’agit du premier objectif macro conçu pour obtenir des rapports de grossissement
supérieurs à 1x sans utiliser d’accessoires complémentaires.
Il est idéal pour la photographie de très petits sujets. Sa nouvelle formule optique spécifique
et l’utilisation d’éléments en verre UD éliminent l’aberration chromatique qui apparaît
normalement aux rapports de grossissement élevés.
La taille de la lentille frontale le rend toutefois difficile d'utilisation. Il est utilisable à main
levée mais la distance de mise au point au rapport 5:1 est telle qu'il n'est pas rare de faire soi-même
de l'ombre au sujet, il est donc utile de le combiner avec un flash ou un pied. Pour ma part,
si conditions de faible luminosité il y a, je trouve une position stable (généralement couché) et
le cale contre un élément du terrain ou dans le pire des cas, contre ma main gauche.
C'est un objectif de base (visible au premier coup d'oeil) de qualité moyenne que je n'utilise
que lorsque la focale fixe du 150mm ne me permet pas de prendre la photo que je veux (oiseaux, détails
architecturaux, etc, 480mm grâce au capteur du 400D étant un zoom plus qu'appréciable!), ou quand la
nécessite de pouvoir couvrir un grande plage photographique pour un poids relativement faible
se fait sentir (visite de parcs d'attractions, zoos,...).
C’est l’objectif vendu en kit avec le 400D. Lui non plus n’a pas souvent l’occasion de mettre
le nez dehors, puisque je ne l’utilise que pour faire des photos de paysages, de portraits
ou de fêtes de famille. C’est le seul objectif « grand angle » que je possède et il a
l’avantage de ne peser que 200g.
Le grip BG-E3 permet non seulement une meilleure prise en main de l'appareil et l'ajout
d'une batterie supplémentaire, mais il offre aussi au photographe une meilleure stabilité,
car le fait d’ajouter du poids limite les mouvements engendrés par la respiration.